Bonjour Fanny,
Effectivement, votre situation est difficile. Je comprend tout à fait pour avoir vécu le même genre de dilemme. Quand on croit que les mesures misent en ouvre sont suffisantes à préserver sa santé et qu'une nouvelle source de pollution vient tout ficher en l'air, c'est totalement déprimant. Alors, on doit encore décider quoi faire et passer à la réalisation pratique alors que l'on n'a plus assez d'énergie même pour se lever le matin. La déprime dans ces moments-là, c'est une réaction naturelle et normale. Tous les EHS passent malheureusement par ces stades pénibles et finissent par rebondir.
Toutefois, les solutions existent, même si elles ne sont pas évidentes et même si elles demandent de nouveaux efforts ou de nouveaux changements dans nos vies.
Une idée serait que vous partiez une semaine (ou plus) dans une zone blanche. La saison s'y prête, avec des températures clémentes. J'ai une idée d'une petite aventure ressourçante que vous pourriez vivre tout près de chez vous. Tu peux me contacter hors ligne à ce sujet.
Une autre idée - Il y a quelques mois, un logement bio-compatible était encore disponible au bord du lac de Bienne. Peut-être y a-t-il là une possibilité de logement permanent ou temporaire, pour le temps nécessaire à s'organiser.
Ces deux idées, en déchargeant vos organismes des tortures subies par les radiofréquences, vous permettraient à la fois de récupérer physiquement et aussi d'avoir une vision plus claire des nouveaux dispositifs à mettre en place.
Ceci dit, si tu/vous désirez passer chez nous, vous pouvez le faire, même aujourd'hui...
Courage!
