engin akyurt covid19Photo: Engin Akyurt on unsplash.comFake-news? Vraiment? Luc Montagnier, virologue et prix Nobel de médecine 2008, estime que les ondes ont contribué à la propagation du COVID-19. Dans une interview accordée à CNET le 16 avril dernier, il explique que les ondes peuvent altérer le genome du virus par des mutations. Bien d'autres effets biologiques des ondes sont scientifiquement reconnus (www.emf-portal.org). Face aux nombreuses urgences écologiques et sociales, la mise en quarantaine de personnes sans symptômes de maladie semble absurde. Que disent les scientifiques indépendants? L'ingénieur Sosthène Berger, vice-president de l'ARRA, a voulu en savoir d'avantage.

 

Télécharger l'article par Dipl-Ing. Sosthène Berger avec le titre: Analyse de l'éventualité d'une corrélation entre dangerosité du COVID-19 et les radiofréquences environnementales (2G, 3G, 4G, 5G, wi-fi, etc.)

Sommaire

Dès l'apparition du COVID-19 (SARS-CoV-2) à Wuhan, vitrine de la technologie 5G en Chine, des hypothèses voire des affirmations apparurent dans la presse et sur internet, que le nouveau virus était corrélé voire qu'il découlait directement de l'introduction de cette nouvelle génération de télécommunication.
Avec quelques semaines de recul et de nombreuses lectures à ce sujet, cette analyse tente d'approcher la vérité sur une éventuelle corrélation entre la propagation et la mortalité du virus COVID-19 et la densité de pollution atmosphérique en rayonnements non ionisants (RNI) artificiels.
Avec un bon degré de probabilité, il est constaté qu’une corrélation entre des densités de radiofréquences (RF) micro-ondes (MO) et la mortalité du COVID-19 existe, comme ce dernier étant un cofacteur. En outre, en aucun cas un facteur de causalité directe entre RF MO et COVID-19 n'a pu être mis en lumière.
A noter le fait que les niveaux d'exposition aux RNI découlant de la téléphonie mobile sont dépendants notamment du volume de données transmises. La 5G ayant des bandes passantes bien plus larges que les générations précédentes, à des fréquences plus élevées (jusqu'à 26 GHz dans des cas expérimentaux), avec l'internet des objets (IoT) en sus, contribue grandement à une augmentation très substantielle des RNI et donc favorise les effets néfastes connus. A ce titre, le cas exceptionnel de San Marino devrait être pris comme un avertissement sur la nocivité possible des ondes millimétriques en exposition chronique.

Mots-clé:

Radiofréquences ; micro-ondes ; électrosmog ; rayonnement non ionisant ; coronavirus ; COVID-19 ; 5G